L’image du jour : La galaxie à un Dollar (vidéo)

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Cliquez sur l’image pour l’agrandir. Crédit : Star Shadows Remote Observatory et PROMPT/CTIO

La lumineuse galaxie NGC 253 est une des plus brillantes galaxies visibles, mais également une des plus chargées en poussière.

Certains l’appellent la galaxie du Dollar en Argent du fait de son apparence dans de petits télescopes, ou bien encore simplement la Galaxie du Sculpteur, du fait de sa situation dans les limites de la constellation australe du même nom.

Remarquée pour la première fois en 1783 par la mathématicienne et astronome Caroline Herschel, cet univers-île chargé de poussière se trouve à 10 millions d’années-lumière de nous.

Mesurant dans les 70 000 années-lumière de diamètre, NGC 253 est le membre le plus grand du groupe de galaxies du Sculpteur, le plus proche de notre propre amas, le Groupe Local.

En plus de ses bras spiraux riches en poussière, de frappantes mèches de poussière semblant s’élever d’un disque galactique plein de jeunes amas d’étoiles et de régions de formation d’étoiles apparaissent sur cette image.

La forte proportion de poussière s’accompagne d’un rythme de formation d’étoiles frénétique, valant à NGC 253 le qualificatif de galaxie à sursaut de formation d’étoiles.

NGC 253 est également connue pour être une forte source de rayons X de haute énergie et de rayons gamma probablement dus à des trous noirs massifs se trouvant près du centre de la galaxie.

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L’image du jour : Homard aveugle (vidéo)

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Au cours de l’ expédition Hohonu Moana : Exploration des eaux profondes au large d’Hawaï 2016 , alors que nous explorions le mont sous-marin de Castellano au sud du monument national marin de Papahānaumokuākea dans l’océan Pacifique. Nous avons rencontré ce petit homard aveugle, Homeryon asper . Nommée d’après le poète grec Homère, cette espèce est l’une des nombreuses espèces de la famille des Polychelidae, que l’on trouve dans tous les bassins océaniques du monde.

L’image du jour : La Nébuleuse de l’Anneau (vidéo)

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Cliquez sur l’image pour l’agrandir. Crédit : Hubble, Large Binocular Telescope, Subaru Telescope

La nébuleuse de l’Anneau (M57) est plus compliquée qu’il n’y paraît lorsqu’on l’observe autrement qu’au travers d’un petit télescope.

L’anneau central aisément visible mesure environ une année-lumière de diamètre, mais cette exposition remarquablement profonde – un effort de collaboration combinant les données de trois grands télescopes différents – explore les filaments en boucle de gaz incandescent s’étendant beaucoup plus loin de l’étoile centrale de la nébuleuse.

Cette image composite comprend la lumière rouge émise par l’hydrogène ainsi que la lumière visible et infrarouge.

La nébuleuse de l’Anneau est une nébuleuse planétaire allongée, un type de nébuleuse créée lorsqu’une étoile semblable au Soleil évolue pour se débarrasser de son atmosphère extérieure et devient une naine blanche.

La nébuleuse de l’Anneau est à environ 2 500 années-lumière de nous, dans la constellation musicale de la Lyre.

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L’image du jour : Les vestiges de la supernova des Voiles (vidéo)

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Cliquez sur l’image pour l’agrandir. Image Crédit: CTIO, NOIRLab, DOE, NSF, AURA

L’explosion est passée, mais les conséquences perdurent. Il y a environ onze mille ans, une étoile de la constellation des Voiles a explosé, créant un étrange point lumineux brièvement visible par les humains vivant au début des temps historiques.

Les couches externes de l’étoile se sont écrasées contre le milieu interstellaire, provoquant une onde de choc encore visible aujourd’hui.

L’image présentée capture une partie de ce choc, filamentaire et gigantesque en lumière visible.

Au fur et à mesure que le gaz s’éloigne de l’étoile qui a explosé, il se désintègre et réagit avec le milieu interstellaire, produisant de la lumière dans de nombreuses couleurs et bandes d’énergie différentes.

Au centre du vestige de la supernova des Voiles se trouve un pulsar, une étoile extrêmement dense constituée principalement de neutrons, qui tourne sur elle-même plus de dix fois en une seule seconde.

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L’image du jour : La grande nébuleuse de la Carène (vidéo)

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Cliquez sur l’image pour l’agrandir. Crédit : Demison Lopes

Joyau du ciel austral, la grande nébuleuse de la Carène est plus modestement connue sous le nom de NGC 3372.

L’une des plus grandes régions de formation d’étoiles de notre galaxie, elle s’étend sur plus de 300 années-lumière.

Comme la Grande nébuleuse d’Orion, plus petite et plus septentrionale, la nébuleuse de la Carène est facilement visible à l’œil nu. Mais à une distance de 7 500 années-lumière, elle est cinq fois plus éloignée.

Cette étonnante vue télescopique révèle des détails remarquables sur les filaments incandescents de gaz interstellaire et les nuages de poussière cosmique qui l’obscurcissent.

La nébuleuse de la Carène abrite de jeunes étoiles extrêmement massives, dont la variable Eta Carinae, une étoile encore énigmatique dont la masse est plus de 100 fois supérieure à celle du Soleil.

Eta Carinae est l’étoile brillante située au-dessus de l’encoche sombre centrale de ce champ et à gauche de la nébuleuse du Trou de serrure (NGC 3324).

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L’image du jour : M51 déroulée (vidéo)

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Crédit : Hubble Heritage Project

Les bras d’une grande galaxie spirale de 60 000 années-lumière de diamètre sont déroulés dans cette transformation numérique du magnifique portrait de M51 réalisé en 2005 par le télescope spatial Hubble.

En fait, M51 est l’une des nébuleuses spirales typiques, dont les bras sinueux sont décrits par une courbe mathématique connue sous le nom de spirale logarithmique, ce qui signifie qu’elle croît en progression géométrique au fur et à mesure que l’on s’éloigne du centre.

Il suffit donc d’appliquer un traitement logarithmique aux coordonnées des pixels de l’image originale pour aligner chaque bras.

On constate alors que ces bras sont fortement structurés par les régions de formation d’étoiles, en rose, et les amas de jeunes étoiles bleutées auxquelles elles donnent naissance.

En haut, la galaxie compagne de M51, NGC 5195, exerce manifestement une influence gravitationnelle sur un des bras, même si elle reste elle-même relativement peu affectée par le déroulement de M51.

Également connues sous le nom de spira mirabilis, les spirales logarthimiques se retrouvent dans la nature à toutes les échelles.

Par exemple, les spirales logarithmiques peuvent tout aussi bien décrire les ouragans, les traces de particules subatomiques dans une chambre à bulles et, bien sûr, les motifs du méristème pré-floral des choux-fleurs.

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L’image du jour : L’épave du remorqueur New Hope (vidéo)

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Surgissant hors de l’obscurité dans les eaux profondes du Golfe du Mexique, le remorqueur New Hope apparaît comme une relique émiettée depuis longtemps oubliée. Avec l’archet fier le remorqueur s’assoit sur le fond marin comme s’il était encore place dans un port. Le 29 septembre 1965, le New Hope a rencontré les vents violents et la haute mer de la tempête tropicale Debbie au large des côtes de la Louisiane. 

L’image du jour : Castel del Monte, Italie (vidéo)

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Castel del Monte (« Château sur la colline ») a été construit au milieu du XIIIe siècle. L’empereur du Saint Empire romain germanique Frédéric II a choisi pour ce bâtiment une colline de 540 mètres de haut, où se trouvait déjà auparavant une sorte de fortification. Castell del Monte est surnommé la « Couronne des Pouilles » et est considéré comme l’un des bâtiments les plus mystérieux non seulement d’Italie, mais de toute l’Europe. Pendant plusieurs siècles, le château fut en mauvais état. Il fut transformé soit en hôpital, soit en prison, jusqu’à ce qu’en 1879 le bâtiment soit entièrement restauré. En 1996, l’#UNESCO a ajouté Castel del Monte à la liste du patrimoine mondial de l’humanité.

L’image du jour : Cténophore Mertensiid cydippid (vidéo)

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Ce cénophore bleu vif  Mertensiid cydippid , vu lors de l’exploration d’un contour de 450 mètres à l’extrémité sud de la côte de Kona de la grande île d’Hawaï. Les cténophores, également connus sous le nom de gelées en peigne, sont caractérisés par huit rangées de cils, qui sont utilisés pour la locomotion. Les cils dans chaque rangée sont agencés pour former une pile de peignes, également appelés plaques de peigne. Dans la vidéo, l’arc-en-ciel changeant de couleur qui coule sur les côtés du cténophore est provoqué par la diffraction de la lumière ou la diffusion de la lumière par les cils mobiles lorsque le cténophore nage.

L’image du jour : Fort de Gwalior, Madhya Pradesh, Inde (vidéo)

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Le fort de Gwalior est stratégiquement situé sur une colline de grès escarpée de 3 km de long, surplombant la ville de Gwalior, dans le Madhya Pradesh, en Inde. On ne sait pas exactement quand le fort de Gwalior a été construit, la première mention date du 10ème siècle. Au fil des siècles, le contrôle du fort a changé plus d’une douzaine de fois, de sorte que divers styles architecturaux y sont présents, notamment Rajput, Mughal et hindou. De nombreux monuments historiques importants, notamment des palais, des temples et des réservoirs d’eau, se trouvent dans le fort.

L’image du jour : Le trou noir au « cœur » de la Voie Lactée (vidéo)

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Crédit : ESO

Les astronomes ont pour la première fois enregistré une lumière polarisée et des champs magnétiques entourant un trou noir supermassif au cœur voie Lactée Sagittaire A* (Sgr A*). L’observation historique a été réalisée avec le télescope Event Horizon (EHT).

Cette nouvelle image du trou noir au centre de notre Voie Lactée, Sgr A*, nous indique que des champs magnétiques puissants, tordus et ordonnés existent à proximité du trou noir.

Depuis un certain temps, nous pensons que les champs magnétiques jouent un rôle clé dans la façon dont trous noirs alimenter et éjecter la matière avec des jets puissants.

Cette nouvelle image montre que des champs magnétiques puissants et ordonnés sont essentiels à la façon dont les trous noirs interagissent avec le gaz et la matière qui les entourent.

L’EHT débutera bientôt sa campagne d’observation 2024 et les astronomes espèrent obtenir des images colorées de trous noirs familiers tels que M87* et Sgr A* en les observant à différentes fréquences de lumière.

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L’image du jour : Une méduse Cyanea (vidéo)

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Cette belle, grande méduse appartient au genre Cyanea , qui est un groupe de méduses scyphozoaires bien connues pour leur tendance à « fleurir » et se produisent en grand nombre dans les eaux de surface. Elles peuvent aussi être un aliment important pour les tortues luth. Pendant de nombreuses années, on pensait qu’il n’y avait que quelques espèces, pour la plupart cosmopolites, mais nous savons maintenant que beaucoup de morphotypes sont en fait des espèces valides.

L’image du jour : NGC 7714, flambée d’étoiles après la collision (vidéo)

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Cliquez sur l’image pour l’agrandir. Crédit : NASA, ESA, Hubble Legacy Archive

Cette galaxie est-elle en train de sauter au milieu d’un anneau d’étoiles géant ? Probablement pas.

Bien que la dynamique exacte ayant abouti à cette configuration nous échappe encore, il est clair que cette galaxie, NGC 7714, a été étirée et tordue par une récente collision avec une galaxie voisine.

Ce voisin plus petit, NGC 7715, se trouve hors du cadre, sur la gauche de l’image.

On pense qu’il est passé en plein par le travers de NGC 7714. Les observations indiquent que l’anneau doré est constitué de millions d’étoiles anciennes de type solaire.

Par contraste, le centre brillant de NGC 7714 semble connaître un sursaut de formation d’étoiles. NGC 7714 se trouve à environ 130 millions d’années-lumière de nous dans la constellation des Poissons.

Les interactions entre ces galaxies ont probablement débuté il y a quelque 150 millions d’années et devraient se poursuivre sur encore plusieurs centaines de millions d’années, au terme desquelles une seule galaxie sera visible.

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L’image du jour : La Reine de la mer (vidéo)

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La grande majorité des vivaneaux ciblés par les pêcheurs de loisir et commerciaux sont situés dans les eaux profondes des côtes ouest et est de Porto Rico.  Environ 70 à 80 pêcheurs sont autorisés à pêcher des vivaneaux hauturiers à Porto Rico. Le vivaneau illustré dans cette vidéo est le vivaneau royal Etelis oculatus , l’une des principales espèces d’eau profonde ciblées par la pêcherie. On en sait très peu sur le cycle biologique, les préférences en matière d’habitat, les habitudes alimentaires et la dynamique de la population des reines. Avant cette expédition, les pêcheurs et les scientifiques avaient signalé cette espèce à des profondeurs pouvant atteindre 450 mètres. Au cours de l’expédition Océano Profundo 2018, il a été observé à une profondeur de 539 mètres sur un site situé au sud-ouest de Isla Caja de Muertos, près de Ponce, à Porto Rico, ce qui étendait la plage de profondeur connue de cette espèce.

L’image du jour : Les ruines ‘Beng Mealea’, Cambodge (vidéo)

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Beng Mealea est l’un des temples les plus mystérieux d’Angkor au Cambodge. Le temple est en ruines, pour la plupart non restauré, et la jungle l’a envahi (d’où son surnom de « Temple de la Jungle »). Il n’est mentionné dans aucune des inscriptions khmères malgré sa grande taille, mais on considère qu’il a été construit au début du XIIe siècle. Le temple est situé à environ 77 km au nord-ouest de Siem Reap. Le complexe du temple Beng Mealea est inscrit sur la liste indicative du patrimoine mondial de l’UNESCO.

L’image du jour : Portrait de NGC 1055 (vidéo)

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Cliquez sur l’image pour l’agrandir. Crédit : Dave Doctor

La grande et belle galaxie spirale NGC 1055 est un membre dominant d’un petit groupe de galaxies situé à seulement 60 millions d’années-lumière de nous, dans la constellation aquatiquement intimidante de la Baleine.

Vu par la tranche, l’univers insulaire s’étend sur plus de 100 000 années-lumière, soit un peu plus que notre propre Voie lactée.

Les étoiles colorées et hérissées qui décorent ce portrait cosmique de NGC 1055 se trouvent au premier plan, largement à l’intérieur de la Voie lactée.

Mais les régions de formation d’étoiles rosâtres sont pour leur part bel et bien dispersées dans des couloirs de poussière sinueux le long du disque fin de la galaxie lointaine.

Avec une poignée de galaxies d’arrière-plan encore plus éloignées, cette image révèle également un halo de type très anguleux qui s’étend bien au-dessus et au-dessous du bulbe central et du disque de NGC 1055.

Le halo lui-même est parsemé de discrètes structures qui pourraient correspondre aux débris mélangés et étalés d’une galaxie satellite perturbée par la grande spirale subsistante il y a environ 10 milliards d’années.

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L’image du jour : Poissons des profondeurs (vidéo)

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Cette vidéo donne un aperçu de certains des poissons observés lors des 19 plongées effectuées en 2017 lors de l’ expédition Discovering the Deep: Exploring Remote Pacific Marine Protected Areas , tout en explorant la zone protégée des îles Phoenix et le monument national marin des îles éloignées du Pacifique à des profondeurs allant de 300 mètres jusqu’à près de 6 000 mètres. 

L’image du jour : HH 24, c’est arrivé près de chez vous ! (vidéo)

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Cliquez sur l’image pour l’agrandir. Crédit: NASA, ESA, Hubble Heritage

Cette image vous évoquera peut-être Star Wars et un sabre-laser à lames antagonistes, mais ces jets cosmiques sont en réalité issus d’une étoile nouvellement formée dans une galaxie près de chez vous.

Etablie à partir de données du télescope spatial Hubble, l’image décrit une scène distante de quelque 1300 années-lumière, ou encore 400 parsecs, dans les pouponnières stellaires du complexe de nuages moléculaires d’Orion B.

Masquée à la vue, la proto étoile centrale HH 24, est environnée de poussière et de gaz froid sous la forme d’un disque d’accrétion en rotation.

Lorsque le matériau du disque tombe vers le jeune objet stellaire, il s’échauffe. Des jets opposés se forment le long de l’axe de rotation du système.

Perçant au travers du matériau interstellaire de la région, ces jets produisent une cascade d’ondes de chocs le long de leur parcours.

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L’image du jour : Danse le concombre de mer, danse ! (vidéo)

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Pas de précipitation ici ! Ce concombre de mer décoller lentement du fond marin et se lancer dans une « danse » lente et fascinante lors d’une plongée Seascape Alaska 5 au large de Kodiak, en Alaska. Alors que l’on voit le plus souvent des concombres de mer (ou holothuries) se reposer sur le fond marin, se nourrissant de sédiments ou de débris tombant d’en haut, certains concombres de mer sont en réalité maîtres en flottabilité, capables de se propulser brièvement dans la colonne d’eau, peut-être pour échapper à un prédateur ou trouver un meilleur endroit pour se nourrir.

L’image du jour : Grottes de marbre, Chili (vidéo)

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Les grottes de marbre (Cuevas de Mármol) sont des formations rocheuses naturelles situées dans le lac glaciaire General Carrera, en Patagonie chilienne, près de la frontière chilio-argentine. Ces grottes sont réputées pour leur beauté à couper le souffle, ayant été façonnées sur une période de 6 000 ans par la douce érosion des eaux du lac contre les roches de marbre.

L’image du jour : La nébuleuse du Crayon, onde de choc de supernova (vidéo)

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Cliquez sur l’image pour l’agrandir. Crédit : Helge Buesing

L’onde de choc de cette supernova traverse l’espace interstellaire à plus de 500 000 kilomètres à l’heure.

Centrés et se déplaçant vers le haut dans cette composition colorée très détaillée, ses filaments minces, brillants et tressés sont en fait de longues ondulations dans une nappe cosmique de gaz incandescent vue quasiment par la tranche.

Découverte dans les années 1840 par Sir John Herschel, cette nébuleuse est parfois connue sous le nom de rayon de Herschel.

Cataloguée sous le nom de NGC 2736, son apparence pointue suggère son nom populaire moderne, la nébuleuse du Crayon.

La nébuleuse du Crayon se trouve à environ 800 années-lumière de nous. Longue de près de 5 années-lumière, elle ne représente qu’une petite partie du vestige de la supernova des Voiles.

L’énorme vestige des Voiles mesure lui-même environ 100 années-lumière de diamètre. Il s’agit du nuage de débris en expansion d’une étoile dont l’explosion a été observée il y a quelque 11 000 ans.

Initialement, la section de l’onde de choc visible sous la forme de la nébuleuse du Crayon se déplaçait à des millions de kilomètres à l’heure, mais elle a considérablement ralenti du fait de son interaction avec la matière interstellaire environnante.

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L’image du jour : Un poisson benthique vivant dans un terrier attrape un barracuda (vidéo)

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Cette vidéo, recueillie lors de la plongée 16 de l’expédition au large de la Caroline du Nord avec l’Okeanos Explorer, met en évidence un poisson benthique vivant dans un terrier, arrachant un gros poisson d’eau vive. Ce poisson fouisseur était difficile à identifier pour les scientifiques, car il ressemble à la fois à un crapaud de mer et à un tordu. Cependant, en gelant la vidéo juste avant l’attaque, vous pouvez voir trois des photophores que nous pouvons utiliser pour aider à déterminer les espèces de poissons. 

L’image du jour : Ruines de Patara, Turquie (vidéo)

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Ancienne ville de Patara, capitale de la Ligue Lycienne. Avec ses falaises spectaculaires, ses plages de sable fin et son histoire remontant au néolithique, Patara est l’une des destinations touristiques les plus populaires de Turquie. Mais ce que beaucoup de visiteurs ignorent, c’est que les ruines de Patara sont aussi l’un des sites archéologiques les plus mystérieux du pays.

L’image du jour : Poussière et lumière de NGC 253 (vidéo)

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Cliquez sur l’image pour l’agrandir. Crédit : Steve Crouch

NGC 253 est l’une des galaxies spirales les plus brillantes, mais aussi l’une des plus poussiéreuses.

Certains l’appellent la galaxie de la pièce d’argent en raison de son apparence dans les petits télescopes, ou simplement la galaxie du Sculpteur en raison de son emplacement dans les limites de la constellation australe du Sculpteur.

Découverte en 1783 par la mathématicienne et astronome Caroline Herschel, cette île-univers se trouve à seulement 10 millions d’années-lumière de nous.

D’un diamètre d’environ 70 000 années-lumière, NGC 253 est le plus grand membre du groupe de galaxies du Sculpteur, le plus proche de notre propre groupe local de galaxies.

Outre ses couloirs de poussière en spirale, des vrilles de poussière semblent s’élever de son disque galactique, parsemé de jeunes amas d’étoiles et de régions de formation d’étoiles.

La forte teneur en poussière contribue à la formation frénétique d’étoiles, ce qui a valu à NGC 253 d’être désignée comme une galaxie à flambée d’étoiles.

NGC 253 est également connue pour être une source importante de rayons X et gamma de haute énergie, probablement en raison de la présence de trous noirs massifs près du centre de la galaxie.

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L’image du jour : Une plongée très spongieuse (vidéo)

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L’équipe Ocean Explorer de la NOAA a récemment observé une densité remarquables d’éponges, . La plongée 14 a exploré les habitats du fond marin entre 319 et 398 mètres, et le site de plongée a été caractérisé par une diversité et une densité remarquables d’éponges, en particulier celles connues sous le nom d’éponges de verre (classe Hexactinellida) et d’éponges de roche (Lithistid demosponges) .

L’image du jour : Matera, Italie (vidéo)

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Matera, une ville de la région de la Basilicate, dans le sud de l’Italie, possède un charme distinctif et ancien. Il est connu pour ses grottes rocheuses et ses structures en pierre datant de la préhistoire. Le quartier Sassy de la ville, inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, préserve ce patrimoine. Matera a également été le théâtre de certains films historiques, tels que « La Passion du Christ » de Mel Gibson et « L’Évangile selon saint Matthieu » de Pasolini.

L’image du jour : Tempête de calmars (vidéo)

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Une «tempête de calmars» à nageoires courtes ( Illex illecebrosus ) a envahi le Deep Discoverer tout au long de la plongée 4 de l’expédition Deep Connections 2019. Les calamars ont été vus se nourrissant de crevettes, de poissons et peut-être l’un de l’autre, mais ils n’étaient pas les seuls à savourer une collation!

L’image du jour : L’épave du Monterrey A dans le golfe du Mexique (vidéo)

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On estime que plus de 4 000 naufrages reposent sur le fond du golfe du Mexique, depuis les eaux peu profondes du littoral jusqu’à son abîme le plus profond. Cette vidéo date de 2014, lorsque les Okeanos ont visité deux sites d’épaves, appelés «Monterrey A» et «Monterrey C», qui seraient des épaves de bois du début du XIXe siècle explorées par les Okeanos en 2012 et Nautilus Live en 2013.  Au fond du golfe du Mexique, assez loin du rivage et de la surface pour que l’eau ne porte plus le limon du Mississipi, l’épave d’un navire repose à un léger angle. La structure du bateau s’est effondrée et des artefacts jonchaient les fonds marins sablonneux – céramiques, bonbons, vieux flacons de médicaments, et plus encore. Des clous de cuivre et des pointes de bronze se dressent dans des rangées où les planches qu’ils tenaient jadis ensemble ont pourri en partie, dans l’ombre d’un vieux réchaud lourdement bétonné, un crabe noir à longues pattes lorgne un étrange intrus de suspicion.

L’image du jour : Au cœur de la nébuleuse de la Carène (vidéo)

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Cliquez sur l’image pour l’agrandir. Crédit : Carlos Taylor

Que se passe-t-il au cœur de la nébuleuse de la Carène ? Des étoiles se forment, meurent et laissent une impressionnante tapisserie de filaments sombres et poussiéreux.

La nébuleuse de la Carène, répertoriée sous la référence de catalogue NGC 3372, s’étend sur plus de 300 années-lumière et se situe à environ 8 500 années-lumière de nous dans la constellation de la Carène.

La nébuleuse est composée principalement d’hydrogène, qui émet les lueurs rouge et orange omniprésentes que l’on peut voir principalement au centre de cette image très détaillée.

La lueur bleue sur les bords est créée principalement par une quantité infime d’oxygène ionisé.

Les étoiles jeunes et massives situées au centre de la nébuleuse expulsent de la poussière lorsqu’elles explosent en supernovas.

Eta Carinae, l’étoile la plus énergétique au centre de la nébuleuse, était l’une des étoiles les plus brillantes du ciel dans les années 1830, mais a par la suite spectaculairement perdu de son éclat.

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