Des scientifiques américains ont découvert de mystérieux trous au fond de l’océan Atlantique.

“Ils pourraient avoir été faits par l’homme”, rapportent-ils, mais sans certitude. “Les petits tas de sable autour des trous donnent également l’impression qu’ils pourraient avoir été creusés par quelque chose d’autre, quelque chose d’inconnu.”

Cette étrange découverte a été faite par des chercheurs de la NOAA Ocean Exploration, une organisation américaine qui étudie les océans du monde entier.

Actuellement, les scientifiques travaillent sur la dorsale médio-atlantique, un relief essentiellement sous-marin qui se situe au milieu de l’océan Atlantique et dans l’océan Arctique.

Encore largement inexplorée, la dorsale médio-atlantique s’étend sur 16.000 kilomètres et fascine les chercheurs du monde entier. 

Un mystère

Ce samedi, les scientifiques ont effectué une plongée dans les alentours d’un volcan sous-marin, à une profondeur de plus de 2.500 mètres. À l’aide d’une caméra, l’équipe de chercheurs a découvert un phénomène qui, pour l’heure, reste inexpliqué.

“Nous avons observé plusieurs trous dans la roche qui se trouvaient parfaitement les uns en dessous des autres. De tels trous ont déjà été aperçus dans la région, mais leur origine reste un mystère”, ont expliqué les scientifiques sur les réseaux sociaux.

“Ces trous pourraient avoir été faits par l’homme”, estiment les chercheurs. Mais d’autres hypothèses sont également plausibles. “Les petits tas de sable autour des trous donnent également l’impression qu’ils pourraient avoir été creusés par quelque chose d’autre, quelque chose d’inconnu.” 

Les théories les plus folles

Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes ont donné leur opinion sur l’origine de ces trous. Certains pensent qu’ils ont été faits par une créature marine encore inconnue, vivant au fond de l’eau et faisant des trous pour “respirer”.

D’autres estiment qu’il s’agit d’un phénomène surnaturel causé par des extraterrestres ou un vaisseau sous-marin étranger.

Toutes les théories – même les plus folles – sont donc permises, du moins pour le moment… 

(Sources : HLN, NOAA)