Envoyer un blob dans l’espace, un rêve de chercheur qui pourrait bien devenir réalité. Avec Audrey Dussutour, éthologiste au Centre de recherches sur la cognition animale, CNRS.
De son nom savant «Physarum polycephalum», le blob, qui n’a pas de forme fixe, peut mesurer jusqu’à 10 mètres carrés. Composé d’une seule cellule géante, ni plante, ni animal, ni champignon, il existe depuis plus d’un milliard d’années.
Présent principalement dans les sous-bois des zones tempérées, le blob prospère à l’abri de la lumière dans un environnement humide. Son étude passionne les chercheurs.
Salutations nocturnes Jack , ton article me fais penser à un que je viens de mettre sur un de mes blogs :
Des chercheurs américains viennent de mettre au point, à l’aide d’un ordinateur, un robot d’un nouveau genre. À mi-chemin entre un être vivant et une machine, ce singulier robot, nommé “Xenobot”, aura sans doute de nombreuses applications pratiques.
Un robot pas comme les autres
Xenobot est une véritable création “sui generis”. Il est en effet le seul de son espèce. Les scientifiques l’ont conçu à partir des cellules souches d’une petite grenouille africaine. C’est sur l’embryon de ce batracien que les équipes de chercheurs ont prélevé des cellules issues de la peau et du cœur.etc…..