
« On voulait une action pacifique pour faire bouger les choses, sans embêter le monde comme si on avait occupé un rond-point. L’idée de l’annonce nous a paru bonne », a expliqué à l’AFP une porte-parole des parents d’élèves, Stéphanie Millet.
Le conseil municipal de la localité a voté jeudi soir à l’unanimité une motion de soutien à ce mouvement, a indiqué la mairie. Sur le fond, « le nombre minimum d’élèves, 62, est bien atteint pour le maintien de la classe, mais six élèves ne sont pas comptabilisés officiellement car ils ont moins de 3 ans », a détaillé Mme Millet.
Avec le regroupement des enfants en deux classes de 31 élèves, « on craint notamment que l’accueil des enfants en situation de handicap et des enfants allophones, d’habitude très bien intégrés, ne puisse pas se faire correctement », a-t-elle ajouté.
La direction académique de Vendée, contactée par l’AFP, n’a pas souhaité s’exprimer dans l’immédiat.
(Source : AFP)